Association Maurice Aliger ASSOCIATION MAURICE ALIGER

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ASSOCIATION MAURICE ALIGER

 

Quattre articles sont actuellement en ligne :

 

Nages (30) Célébration du centenaire de Maurice Aliger Samedi 26 octobre 2013 à 17 h
Conférence du 29 mars, à 20 h. au Foyer de Calvisson :

« La « bouvino » au début du XX° siècle d’après l’œuvre du félibre Paul Vézian (1869-1952) »  

COLLOQUE INTERNATIONAL EDMOND VERMEIL (1878-1964) DU LANGUEDOCIEN A L'EUROPEEN

1) " Nos publications " Calvisson, capitale de la Vaunage "

2) Colloque en hommage à Fernand Braudel (1902-1985)  Nîmes - Carré d'Art - 10 avril 2010 (compte rendu)

3) Raconte Vaunajòu » d'Hubert Rouger

4) "LA CHRONOLOGIETTE DE PIERRE PRION"

 

ASSOCIATION MAURICE ALIGER

L’Association Maurice ALIGER présente :

 

Nages (30) Célébration du centenaire de Maurice Aliger

Eh oui , cette année , Maurice Aliger aurait eu cent ans !

A cette occasion, l'association Maurice Aliger ne pouvait pas manquer de lui rendre hommage . Pour ce faire, une conférence aura lieu le samedi 26 octobre à 17 heures à la salle polyvalente de Nages.

Pour débuter, Jean Luc Pontvieux, l'actuel président, reviendra sur le parcours atypique de cet homme , modeste employé des chemins de fer, qui , de retour à Nages dans les années 1950, va s'interesser de manière active à la mise en valeur de l'oppidum de cette commune. Puis viendra rapidement le temps des recherches sur la Vaunage et ses alentours et les premières publications. Maurice Aliger, autodidacte, sera même président de l'académie de Nîmes pour la qualité de ses nombreux travaux !

Dans un second temps, Anny Hermann et Loïc Vannson procèderont à la lecture de certains poèmes de Maurice Aliger rédigés durant le Seconde Guerre Mondiale.

Un petit ouvrage sera mis en vente à cette ocasion.

Samedi 26 et dimanche 27 octobre sera également présentée l'exposition dédiée aux magnifiques aquarelles d'Henry Newmann, venu rendre visite à la communeauté quaker de Congénies entre 1860 et 1880 ( livre de l'exposition disponible ). N'hésitez donc surtout pas à faire un crochet par Nages ce week end, les entrées sont libres.

 

 

 

 

 

 

 

COLLOQUE INTERNATIONAL EDMOND VERMEIL (1878-1964)

DU LANGUEDOCIEN A L'EUROPEEN

Cliquez ici pour lire l'article

Vous pouvez aussi visiter le site http://www.colloque-vermeil.perso.sfr.fr/

 

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   ASSOCIATION MAURICE ALIGER


2 )"Le colloque "Fernand Braudel, l'homme" du 10 avril 2010 au Carré d'Art à Nîmes et en salle polyvalente à Langlade a réuni un public important et attentif. La personnalité de l'homme "Braudel", à travers les témoignages de ses proches, famille comme disciples, s'est dégagé de manièrs originale et humaine. C'est un aspect qu'aucun des nombreux colloques consacrés à l'oeuvre n'avait fouillé de manière aussi approfondie. Un compte rendu très complet est présenté ci-dessous; A noter que les actes du colloque seront édités pou fin 2010, début 2011.

 

« Fernand Braudel, l'homme »,

le colloque sur ce thème, organisé par l'Association Maurice Aliger, et sous la présidence de Jean-Marc Roger, président de l'Académie de Nîmes, réunissait au Carré d'Art de Nîmes, 25 années après le décès du grand historien, la famille et les personnalités l'ayant côtoyé, connu, ou témoins de son rayonnement. Cette journée ne pouvait que séduire d'autant que, si l'ouvre, elle-même, a fait l'objet d'une intense activité de mémoire, la riche personnalité de l'homme n'a très peu, sinon jamais, été mise en lumière à l'occasion d'une rencontre de ce type.

Ce samedi 10 avril, donc, le général René Méjean, président de l'Association, accueillit les nombreuses autorités invitées, les personnalités intervenantes et un public attentif. Il les remercia de leur présence et invita à une prise de parole. Après les mots de bienvenue de Mr Alain Clary, ancien maire de Nîmes, Vice-président du Conseil Général, de Mr Daniel-Jean Valade, adjoint délégué à la Culture, représentant Mr Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, Mr Jean Gutierrez, Inspecteur d'Académie, Mr Alain Aventurier, Secrétaire Perpétuel de l'Académie de Nîmes, il revenait à Mr Hugues Bouziges, préfet du Gard, de clôturer ce prologue par un message chaleureux pour la famille Braudel, présente, les organisateurs et participants et empreint d'humanité et de culture, vis à vis de l'historien et de son ouvre.

Une dizaine de communications occupèrent la journée, d'une part à Nîmes, et, à partir de 18 h, d'autre part, à Langlade, résidence de la fille de Fernand Braudel, Marie-Pierre, où une « table ronde » était organisée à la salle polyvalente, animée par Stéphane Ratinaud, le journaliste, bien connu, de France 3 Sud. L'accueil de Mr Paquette, adjoint de Mr Abric, maire, retenu par ailleurs, fut chaleureux.

Résumer les interventions et en esquisser un portrait de l'homme est impossible, tant les facettes de la personnalité de Fernand Braudel sont nombreuses et les intervenants attachés à en relater l'étincelante diversité.

Se dégagea, cependant, souligné par chacun, ce don prodigieux de la capacité exceptionnelle de la mémoire de l'homme Braudel. Et ce don, aussi prodigieux, de transmuter en synthèse et enseignement, les éléments analytiques si diversifiés de ce stock mémoriel. Aussi, en filigrane, la découverte, au fil des discours, d'un penchant de « séducteur » - oui le terme revint plusieurs fois - dans l'art de convaincre et dialoguer plus que de cultiver le magistère. Bien sûr, « La Méditerranée » aussi, mais elle s'impose, d'elle-même !

La famille ? Paule Braudel, 95 ans, présente, solide encore, lucide, heureuse. Elle appréciera l'attention délicate de fleurs et poésie de quelques lignes plus intimes écrites par son mari, déclamées et projetées sur écran. Marie-Pierre et Françoise, les filles, si jeunes lorsque leur père est fait prisonnier, trois mois après l'armistice de 1940, envoyé en « oflag » et camp à Mayence, puis Lübeck. Amour filial de l'aînée, un peu frustré par le trop peu de temps partagé, les parents au Brésil, puis cinq ans d'absence de guerre, le Brésil encore, bref toute l'enfance passée chez grand-mère, émoi d'un père revenu des camps mais si occupé, et malgré tout, aimant, aidant pour les situations délicates, examens et concours. Un peu plus d'harmonie pour la seconde fille, restée avec sa mère, elle-même livrant de nombreux traits attachants d'un père aimant et aimé.

Puis vinrent les témoignages des pairs : une génération d'écart pour les professeurs Le Roy Ladurie et Carbonell, presque deux pour Aymard et Guilaine, près de trois pour les autres, Amalvi, Biloghi.

Tous et chacun, autour de la « Méditerranée », idée force incontournable. Adhésion à cet espace temps, à la géo-histoire, à cette formulation d'une manière non académique de penser l'histoire, de l'écrire, d'en disséquer les composantes.

Et de discerner, au fil des interventions, les idées forces de l'homme Braudel, pour donner un cadre, une place à cette historiographie.

Dans la manière d'en parler ou de la conduire ? Ni rébellion, ni franche critique du système d'enseignement académique, mais extrême attractivité pour la « nouvelle histoire » dont s'enrichit l'après Grande Guerre.

Les « Annales », en premier, cette belle « institution » ouverte sur la recherche historique dans ce qu'elle a de plus innovant, histoire comparée, ouverture sur les aires culturelles et réflexion dans le champ des sciences sociales et de l'homme. Lucien Febvre, resté seul à la tête de cette « institution » après la mort de Marc Bloch en juillet 1944, sera l'ami, le maître, celui qui recevra les éléments successifs et souvent réécrits, de la « thèse », longuement mûrie, réalisée dans la maturité de la quarantaine, en captivité, sans autre aide que, pour le prisonnier, au début, la riche bibliothèque universitaire de Mayence, où, recteur de l'Université du camp, chargée de préparer les soldats prisonniers à leurs examens, il peut emprunter librement. Lucien Febvre qui s'attachera à dialoguer, à conseiller, à se faire écouter d'un Braudel vite entré en confiance d'amitié et de respect réciproque. Lucien Febvre dont la famille détient les plus beaux manuscrits de ce temps d!

e l'écriture de Fernand Braudel, et que, probablement, la publication des actes de ce colloque permettra d'exhumer. Mais Braudel, s'il entre dans l'institution, le réalise dans des écoles de pensée proche de son point de vue : élu en 1937 directeur d'études à la IVe section de l'École Pratique des Hautes Études (EPHE), il y rejoint les trois autres, ses amis Febvre, Labrousse et Morazé. En 1948, il est l'un des fondateurs de la VIe Section, dont il assure le Secrétariat du Bureau. Là, sans aucun doute, dans cette VIe Section, il sait se retrouver chez lui, parce qu'il en perçoit tout de suite les possibilités de développement dans le contexte de volonté de rénovation nécessaire de l'après-guerre. Une institution qu'il va, aux côtés de Febvre d'abord, puis seul ensuite, (mais entouré par des collaborateurs choisis avec soin, au premier rang desquels Clements Heller) pousser dans de multiples directions : création de centres de recherches dans les principales disciplines et !

sur les grandes aires culturelles du monde, contacts avec les !

fondations américaines, invitation de chercheurs et enseignants étrangers de nombreux pays, publication de collections d'ouvrages et de revues.

Face à l'Université, il fait ainsi de la VIe Section une institution de référence, dynamique et originale, au plan national et international, un symbole de la recherche vivante et des idées nouvelles, un lieu qui attire, de France et de l'étranger, plusieurs générations de jeunes qui cherchent leur voie et trouvent auprès de Braudel soutien, confiance et encouragements à aller de l'avant.

Plus tard, s'il échoue dans sa candidature à la Sorbonne, il sera élu au Collège de France où il succède à Febvre, comme il lui succède à la direction des « Annales ».

En cela, il a été un successeur « naturel », qui s'imposait, les professeurs Amalvi et Carbonell s'attacheront plus particulièrement à cette facette de son histoire

Il revint à plusieurs des intervenants de déceler chez Braudel, les raisons profondes de sa décision de créer, tout de même, à 58 ans, la Maison des Sciences de l'Homme, dont il sera le fondateur et le premier administrateur. Pas une Université, pas une Ecole de plus, mais une Maison, ouverte à tous ceux, de toutes disciplines et de tous les pays qui souhaitent développer des idées nouvelles et travailler ensemble, et qui s'y trouvent chez eux. Maurice Aymard, qui l'y rejoignit en 1976, assura de 1992 à 2005 le relais de Clemens Heller, apporta ainsi un témoignage, vécu de l'intérieur, sur cette période extraordinaire d'ouverture sur le vaste monde (l'Europe, de l'ouest et de l'est, le Brésil, l'Inde, la Chine, etc.) et sur la capacité exceptionnelle de Braudel à stimuler les énergies de ceux qui l'entouraient, auxquels il faisait confiance et reconnaissait le droit à l'erreur.

Vint aussi le temps d'évoquer la nouveauté communicative de l'histoire réinventée et rajeunie par Fernand Braudel, la manière et le dosage de l'écriture dans les trois parties de la « Méditerranée et le monde méditerranéen, à l'époque de Philippe II », la thèse si patiemment réécrite comme une revanche sur la captivité, retouchée et en partie remaniée quinze ans plus tard pour une seconde édition qui incorporait les résultats des recherches nouvelles de l'auteur, mais aussi celles de tous ses « élèves » et collaborateurs , mais sans modification fondamentale de ce qui en faisait la nouveauté.

Rien n'était à dire, à l'occasion du colloque, de ce que tout le monde sait de cette division qui permet à l'auteur de décomposer l'espace et le temps de la Méditerranée en trois niveaux de lecture, complémentaires et impossibles à isoler. En premier lieu, le temps et l'espace de la « longue durée », de la maturation du milieu physique et des sociétés, de la répétition, de la lenteur et de la permanence, sous tous leurs aspects. La seconde, dédiée au temps « conjoncturel », des mouvements collectifs de l'économie et des multiples transformations des sociétés - les guerres, les Réformes catholique et protestante, l'expansion du commerce européen, les mutations politiques. La troisième, celle de l'événementiel, cette formidable conjoncture jusqu'au paroxysme d'une situation instantanée engendrant une réorientation générale des sociétés : le cas de Lépante, en 1571, formidable combat naval de plus de 520 vaisseaux et vraisemblablement près de 40 000 hommes, d'une seule journée !

qui casse la suprématie ottomane musulmane en Méditerranée et semble redistribuer toutes les cartes, mais sans donner au vainqueur un avantage définitif.

Les deux interventions complémentaires d'Emmanuel Le Roy Ladurie et de Charles-Olivier Carbonell ont bien mis en évidence cet impact de l'ouvre. Celle du second sur la façon d'écrire l'histoire, notamment en France. Celle du premier sur son propre travail d'historien, qui s'inscrit librement dans une exploration des voies ouvertes ou suggérées par Braudel depuis sa thèse sur « Les paysans de Languedoc » et sa minutieuse étude sur « Montaillou, village occitan », cette analyse micro-historique, jusqu'à « L'Etat Royal », « L'Historien le chiffre et le texte » et « L'histoire du climat depuis l'an Mil », en passant par sa chaire d'histoire de la civilisation moderne, au collège de France, où il a succédé à Braudel.

Le parcours du maître put ainsi être évoqué à la fois comme une longue marche vers les honneurs, qu'il reçut sans jamais faire une concession pour les obtenir (le Collège de France, la Présidence de la Vie Section, la direction de la Maison des Sciences de l'Homme, et finalement, au soir de sa vie, l'Académie française) et comme la poursuite d'une écriture de l'histoire qui s'organise après le succès de la Méditerranée autour de deux chantiers principaux, dont le second devait rester inachevé.

Jean Guilaine, professeur au collège de France, protohistorien, chercheur et archéologue, sous le thème « La Méditerranée partagée », démontra, le lent mais inexorable cheminement,

depuis le IXème millénaire, de la formation d'une « Méditerranée partagée », depuis la suprématie dans tous les domaines de l'Orient, et la lente perfusion, prouvée par l'archéologie elle-même, de cette expansion sur les sociétés de l'Ouest, plus rudimentaires, à l'origine, jusqu'à la relative cohésion et osmose d'un monde « méditerranéen », vers les années 1300.

Colloque Braudel Il revint à Paule Plouvier de décrypter avec délicatesse, et précision, le style de l'écriture de Fernand Braudel, dont l'architecture s'approche souvent de celle d'un phrasé poétique d'alexandrin binaire, qui donne rythme et chaleur. Le choix des mots, adjectifs, rares, aux consonances riches, semblait faire complément en couleur à cette singularité de l'écrit. Complément ou arme de séduction ? Pourquoi pas.

On évoqua la fin de vie, dans la contemplation, symbiose ultime, entre l'homme de l'Histoire de la Méditerranée, en vis-à-vis et contemplation du Mont Blanc, là, tout proche, point géographique culminant de sa bordure alpestre.

 

Voici « Fernand Braudel, l'homme ! » Pour ce colloque, suivi avec extrême attention, sinon affectivité et humanisme !

Calvisson, 23 avril 2010

Président :Général (cr) René Méjean

3, Rue du Château 30420 CALVISSON

Tel / Fax 04.66.01.20.26 E.Mail : rene.mejean@orange.fr

 

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Nous écrire nous contacter :

Association Maurice Aliger
Contact : Mme Pierrette BOSC, 4 chemin Creux de l’Argile, 30111 CONGENIES

Courriel : pb.conaur@wanadoo.fr Tél : 04.66.80.72.56.

M. René MEJEAN, 3 rue du Château, 30420 CALVISSON

Courriel : rene.mejean@orange.fr Tél : 04.66.1.20.26.

www.vaunage.net/maurice-aliger.htm

 

 

 

 

  1) Nos publications

  " Calvisson, capitale de la Vaunage "

La monographie " Calvisson, capitale de la Vaunage " sera présentée et offerte à l'acquisition, en séance publique, à la Médiathèque de Calvisson, le 17 novembre 2011. Lire la suite

Raconte Vaunajòu » d'Hubert Rouger
Aimé Daniel RABINEL (1885-1987)
LA CHRONOLOGIETTE DE PIERRE PRION
CAVEIRAC, PORTE DE LA VAUNAGE

 2) " Calvisson, capitale de la Vaunage "

La monographie " Calvisson, capitale de la Vaunage " sera présentée et offerte à l'acquisition, en séance publique, à la Médiathèque de Calvisson, le 17 novembre 2011. Lire la suite

 

 

 

 Aimé Daniel RABINEL (1885-1987),docteur en Droit, haut fonctionnaire au ministère des finances, appartient à une longue lignée de Vaunageols puisque le père de son trisaïeul né à Sinsans vint s'établir à Congénies en 1761 où il acheta une maison et une propriété.

Aimé Daniel Rabinel, passionné d'histoire et d'ethnographie, effectua de solides recherches dont plusieurs ont été publiées dans le Bulletin de la Société d'Histoire du Protestantisme. Toutes concernent la Vaunage.

Pierre, son fils, a offert à l'Association, un lot de l'ouvre majeure d'Aimé Daniel Rabinel « La Tragique Aventure de ROUX de MARCILLY » publiée aux Editions Privat, de Toulouse, en 1969. Dans le préface André Chamson , de l'Académie Française, écrit « Cette étude savante..aurait pu être un roman de cape et d'épée, une histoire policière ou mieux encore, une histoire d'agent secret.. »

Rappelons que Claude Roux de Marcilly, originaire de Calvisson, tenta de soulever les puissances européennes contre Louis XIV et de proclamer une République au sud de la Loire. Enlevé, Claude Roux fut embastillé, tenta de se suicider, fut condamné au supplice de la roue et exécuté le jour même en juin 1669.

L'association Maurice Aliger propose de céder cet ouvrage de 300 pages , encore empaqueté , au prix de 10 euros.

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Fiche de commande

Nom............ Prénom............

Adresse........................ ..............................

.... exemplaire (s) à 10 euros l'un

« La tragique aventure de Claude Roux de Marcilly »

Prix 10 euros x .....= ....... euros (Frais de port : ajouter 5 euros )

 

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  3) « Raconte Vaunajòu » d'Hubert Rouger

transcription simultanée en « Français »

Raconte Vaunajou

Hubert Rouger (1875-1958), « le petit cultivateur Calvissonnais » avait su se hisser au premier rang dans son département : député-maire de Nîmes et questeur de la Chambre des Députés. Il était aussi écrivain, membre résidant de l'Académie de Nîmes.

 

Grâce à une fructueuse collaboration entre la Médiathèque Carré d'Art, de Nîmes et la Municipalité de Calvisson, des manuscrits inédits du fonds Hubert Rouger ont pu être scannés et confiés à Serge Badouin : chercheur occitan, de Nages-et-Solorgues. La charge de transcription de cette masse de documents souvent de déchiffrage difficile, lui a pris trois années de labeur.

 

Cet ouvrage est remarquable par la poésie des écrits eux-mêmes, tant en « parler du pays », où tant d'entre nous retrouvent les accents chantant de tant de souvenirs, que dans le texte français où foisonne la vie même, si particulière , au ras des générations d'hommes et de femmes, en cette Vaunage qui vivait tout entière entre familles, amitiés, sentiments dans la double fraternité-séparation « protestants-catholiques ». Le lecteur va « se régaler » de lire ces récits en parler vaunageol, accompagnés non pas d'une traduction mot à mot, mais de la reprise du thème en français par la plume même de l'auteur.

 

Quelques pages de préambule à cette « Collection Mémoire Vaunageole n°1 » :

Préface érudite de Gòrji Gros, ce spécialiste nîmois bien connu de l'IEO (Institut des Etudes Occitanes).

Carrière politique décryptée et détaillée par le professeur Armand Cosson.

Relation des liens étroits de son confrère Hubert Rouger avec l'Académie, par Marcelle Viala, ancienne présidente de l'Académie de Nîmes.

Hommage à la fois à l'homme mais aussi à la qualité ethnographique et populaire de l'ouvre, par Jean-Marc Roger, qui a conduit cette publication

 Les Vaunageols, et les Calvissonnais particulièrement, vont pouvoir disposer de cet ouvrage, tout à la fois essentiel de leur patrimoine et jubilatoire à la lecture de ses cinq cents pages, agrémentées de très nettes et nombreuses reproductions, principalement de cartes postales collection Alain Pierrugues pour la plupart et de photographies du temps.

René MEJEAN

BON de RETENUE 

« Raconte Vaunajòu » d'Hubert Rouger,

(2ème édition) Transcription "Parlé nîmois" -"Français" et annotation :

Serge Badouin .Prix : 24 euros

ou envoi postal ( 6 euros en sus), voir ci-dessous.

NOM :....................................PRENOM :.............................

Adresse :...........................

Code postal :....... .Ville : ..................

Téléphone :............... ....Mail :......................

Se renseigner ou retenir, par courrier, mail ou téléphone : Mme Pierrette BOSC, 4 chemin Creux de l'Argile,

30111- CONGENIES Tél : 04.66.80.76.52 EMAIL/ pb.conaur@wanadoo.fr

Règlement par chèque à l'ordre de l'Association Maurice Aliger, joint à la commande.

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CAVEIRAC, PORTE DE LA VAUNAGE

 

Collection Monographies Vaunageoles

sous la direction de Jean Marc Roger, de l'Académie de Nîmes

et de René Méjean, président de l'Association Maurice Aliger, Correspondant de l'Académie de Nîmes

 

Ecrite, en collaboration, par onze auteurs, sous l'égide de l'Association Maurice Aliger, en partenariat avec l'Association Caveirac Loisirs-Section, cet ouvrage apporte un complément indispensable à la culture de ce village, devenu un des plus importants de la Vaunage du xxième siècle.

Très documenté et abondamment illustré, traitant de toutes les périodes historiques et de parties thématiques, cet ouvrage utilise de nombreuses sources inédites, spécialement pour la lente élaboration des habitats, retrouvée à partir du vieux compoix des années 1696, pour la grandiose réalisation du Château et de son parc, et pour l'institution consulaire au cours des années terribles de la guerre des camisards. Les chapitres relatifs aux communautés catholiques, protestantes et méthodistes révèlent des aspects sociologiques inédits. Un hommage est rendu aux acteurs des tragédies aussi bien que des exploits que troubles, violences et guerres suscitent.

A partir des comptes rendus des conseils municipaux des deux derniers siècles, d'écrits personnels, et de témoignages nombreux, toute l'évolution de la vie communautaire récente est mise en lumière sous tous ses aspects, économique, démographique, social, culturel, ludique. On découvre même une exceptionnelle mise en œuvre de structures coopératives permettant la transformation des productions agricoles (raisins, vin, olives confites et huilerie) assurant ainsi le maintien de main d'œuvre au village et l'épanouissement de cet art de vivre propre à ce gros bourg.

Ce volume de 624 pages (dont 100 illustrations) est disponible, au prix de 25 € (frais de port éventuels en sus 4.90 €).

S'adresser : Association Caveirac Loisirs. Tél : 04.66.81.35.20.,

E. Mail : g.trauchessec@aliceadsl.fr  

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4) "LA CHRONOLOGIETTE DE PIERRE PRION"

par Jean-Marc Roger - Préface de Emmanuel Le Roy Ladurie - : 26 euros

( Frais de port : ajouter 5 euros )

 

 

 

www.vaunage.net/maurice-aliger.htm

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